12 septembre 2013
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Je ne sais pas c
hez
vous, mais mes amies hirondelles ont quitté les cieux allevardins, non pas à cause du froid, mais parce qu'à l'approche de l'automne, les insectes se font plus rare. Bon voyage dans ce beau
continent africain . Vous n'êtes pas colombes apportant la paix sous le pinceau de Picasso, mais je souhaite qu'en vous voyant, les hommes de bonnes volontés sauront retrouver le chemin de cette
paix...
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Hélas ! Ayant oublié mon appareil, je ne peux pas vous mettre
des images de cette journée festive où j'ai déjeuné avec des amis intimes. Les "Diots (saucices) accompagnés d'une polenta géante, (400 repas), étaient délicieux. Bien entendu, c'est en vélo
qu'une grande partie du club a relié le collet d'Allevard.... Pour vous donner une idée de la difficulté, Allevard , a la mairie, ce situe à 464 m d'altitude, et le collet à 1450 m,
Pratqiuement 1000 m de dénivelé en seulement dix km ! Jouant au lièvre et la tortue du grand La Fontaine, je suis parti seul, une heure et demi avant le groupe attendant de se faire
photographier. C'est ainsi, que même nos deux champions n'ont pu me rattraper même en faisant un beau temps de 49 minutes, alors qu'il m'a fallu une heure cinquante, dix minutes de plus que l'an
dernier ! C'est vrai qu'ayant pris le temps d'admirer le paysage, je suis arrivé sans la moindre fatigue ( ou presque ) Le fait est que dix minutes aprés m'être congratulé avec mes amis qui
préparaient le repas, j'étais aussi frais que lors de mon réveil...
rintemps et d'un été tardif, mes
poiriers avaient trois semaines de retard comme partout en France, mais le soleil ardent qui dure depuis bientôt un mois, fait qu'il n'y a plus qu'une dizaine de jours de retard, et même si elle
sont plus petites, dame nature s'apprête à m'offrir dans quelques semaines, une récolte des plus prometteuse ! Miam miam ! Ce ne sont pas des nuages menaçants comme on peut le penser, mais
le mur de mes voisins.
uie, sans grêle ni vent et donc pas de dégats comme on en voit
tant à la télé ! Mes poiriers sont contents. Ma soeur aussi, car cela faisait 10 jours qu'elle était calfeutrée chez elle... Quant à moi, j'étais tout heureux de retrouver samedi mes amies et
amis cyclistes avec mon nouveau maillot du BRA. Sur le vélo, en montée comme en descente, j'éprouvais de belles sensations. Comme quoi, après la croix de fer ou le Galibier, le circuit valonné
que Bébert nous a proposé, était pour moi de la tarte à la crême. " Pourquoi vois-t-on les rayons sur cette photo ?" - Parceque tu vas trop doucement mon enfant !
u femmes. Le petit chien s'amusent à ridiculiser son ami à deux pattes ! Des facéties à vous faire plier en deux. Et que dire de
cette chatte malicieuse qui ne cesse de désobéir à son copain au chapeau qu'elle semble adorer ! Elle n'a peur de rien ! Même en sautant à travers un cerceau enflammé. Bravo aussi à
cette gentille chèvre équilibriste. ( Elle a un petit qu'elle couve d'un regard affectueux comme j'en ai été témoin en achetant mon billet) Le numéro des colombes qui apparaissent comme par magie
(numéro connu mais qui surprend toujours ) font admirer le talent du prestidigitateur. Après un vol gracieux autour du chapiteau, elle reviennent docilement dans les mains du magicien pour se
laisser mettre en cage. Si un jour le cirque de la famille Piedon s'arrête dans votre village ou votre ville, ne manquez pas d'y emmener vos enfants ou petits-enfants. Ils ont un talent fou pour
mettre de l'ambiance dans le public.
luie des jours précédents a laissé place à une belle journée ensoleillée pour le grand rassemblement des classes en 3. Des 9 heures, nous, les classards nés en
1933, nous nous sommes retrouvés au Trianon pour les retrouvailles autour d'une collation, puis l'acquisition de nos chapeaux bleus et coquardes. Aprés les séances de photos au parc Very au son
des Champladios, musiciens célèbres à Allevard, une foulle immense amassée sur les trottoirs acclamait le défilé, ouvert par les 10 ans, suivis des 20 ans jusqu'aux 80 et 90 ans, le tout en
fanfare, celle de la Rochette et l'Harmonie d'Allevard. Après des tours et des détours, nous voici arrivé à la pléaide, magnique gymnase, pour la photo générale des 380 conscrits. Après une
nouvelle collation en plein air toujours en musique, cette fois par les corps de chasse, l'immense salle de la pléiade magnifiquement décorée nous accueillait. Le menu était délicieusement
préparé et joyeusement servi tout le long de la journée par "le comptoir gourmand" d'Alberville.
mes poiriers en fleurs. Enfin, témoignaient, car d'abondantes
quantités de poires minuscules surgissent à leurs places, grâce aux insectes qui les ont butinées. Nous n'aimons pas la mort, et pourtant, elle n'exite que parcequ'elle fait partie de la vie....
La vie continue. En attendant la triste journée de demain passée à Alberville, mes amis (es) m'ont convié à décorer la grande salle de la Pléiades, en vue de la grande fete du premier mai en
l'honneur des classes en trois. Et dans quelques jours, le cinq mai, départ pour l'Espagne jusqu'au onze, accompagné de 26 autres cyclistes.
ant mes volets, je découvre avec plaisir quelques hirondelles chassant les insectes... Coquettes, elles ont du arriver dans la nuit, car hier, j'avais beau me
décarcasser à en avoir un torticolis, même en vélo, pas de traces d'hirondelles... Tout à l'heure, je vais voir si elles consolident leurs nids de l'an dernier, ou si elles en construisent
d'autres. A moins que mes amies aillées ne soient que de passage et prennent des forces en mangeant pour aller plus au nord retouver leur lieu de naissance.... Que la nature est belle ! .....
Ecoutez Bourvil chanter les hirondelles.... C'était un grand monsieur aux multiples talents.
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