Un mal d'une autre sorte frappe mes grands-parents! La gale ! Il parait que le pays en est plein et que c'est la faute à la guerre. Dans la famille, c'est pourtant la consternation ! Le médecin a prescrit une pommade et de la poudre qu'ils doivent se répendre sur le corps après avoir fait une toilette des plus minutieuse. A cause de la disposition des lieux, les grands-parents ne peuvent procéder à cette toilette que lorsque tout le monde est couché. Papa et maman dorment dans une maison annexe aux bâtiments de la cantine, tandis que je dors avec Arlette dans la chambre de pépé et mémé située au-dessus de la cuisine.
- Tu ne vas pas encore au lit, Hugues ? Il y a longtemps que ta petite soeur dort !
Je monte après avoir embrassé tout le monde. La vaisselle étant lavée et rangée, papa et maman s'en vont, laissant le soin à leurs parents de fermer portes et volets pour que nul regard indiscret ne vienne surprendre leur nudité. Au préalable, ils ont fait chauffer dans une grande bassine, de l'eau qu'ils versent ensuite dans une "tina" servant pour la circonstancee de baignoire. Ils se déshabillent, posent délicatement leurs habits sur des chaises, et une fois nus, ils se lavent à tour de rôle, l'un s'occupant du dos de l'autre. Ils ne peuvent en aucun cas s'imaginer que quelqu'un puisse les voir dans la tenue d'Eve se lavant consciencieusement les parties les plus intimes de leur corps, et pourtant, quelqu'un les regarde !!! Ce quelqu'un c'est moi qui, m'étant aperçu qu'un filet de lumière sortait du plancher à côté de mon lit me suis levé avec mille précautions pour ne pas faire craquer les planches qui font à la fois office de plafond pour la cuisine et de plancher pour la chambre. Je me suis mis à genoux, le derrière en l'air, et j'ai collé mon oeil sur le trou du plancher.
Quel spectacle !!!
Je suis suffoqué de voir que mon pépé a un si grand zizi ! Plus grand encore que les pies de la Canéla ! Avec ça, il a des poils qui lui grimpent presque jusqu'à son nombril ! Quand il marche, son zizi se balance ! Et la mémé ! Elle a des tétines beaucoup plus grosses que je me les imaginais ! Il est vrai qu'elle pèse un peu plus de cent kg, mais quand même ! Sa fente, je ne peux pas la voir du fait que je regarde de haut en bas et presque verticalement. De plus, son ventre est si rebombé que je ne peux même pas voir son entrecuisse comme je le voyais il y a quelques années, quand, allongé sur une chaise, je faisais semblant de dormir. Il n'y a que lorsqu'elle enjambe la grande cuve en bois aidée par son mari, que je peux l'entrevoir, mais c'est presque toujours de dos, qu'elle entre ou sorte de la cuve.
Si je suis un peu décu de ne pas voir le devant, je suis par contre fasicné par la vue de son derrière. Quel derrière ! Au moins le double de celui du pépé qui pourtant est déjà gros ! Je suis obligé de changer souvent d'oeil à cause du froid provoqué par le courant d'air du trou. Après s'être longuement lavés et séchés, ils se passent de la pommade et de la poudre prescrites par le docteur. Je n'attends pas qu'ils éteignent la lumière pour me glisser dans le lit aussi silencieusement que j'en étais descendu. A suivre........