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31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 14:52

Lundi 16 Mai, 8 heures du mat, premiers coups de pédale encouragés par les bisous de ma frangine. Je vois tout de suite que mon compteur déconne, et, arrivé à saint-Pierre d'Allevard, je toque chez mon pote Bébert qui  remet mon compteur à Zéro ! Il en profite pour gonfler mes roues à 8 barres, vu le poids de mes bagages! Congratulations, et me voici reparti avec un moral d'acier ! La traversée de Grenoble fait baisser ma moyenne horraire à cause des feux. Mais le vent devenant favorable après avoir contourné la montagne du Vercors, je mets tout à droite (48/14) et du coup, mon compteur se maintient allègrement entre 30 et 35 à l'heure ! Il est 11h30 lorsque je mets pied-à-terre à Saint-Quentin (70ième km) pour m'attabler dans un restaurant ouvert depuis deux semaines, d'où un prix attractif! Je me suis empiffrer pour 8 euros ! Le vent un peu plus fort et toujours favorable fait que je mets les voiles avec une vitesse baissant rarement en dessous de 35km/h, sans efforts, et sans mérite, car la pente et légère mais constante. A 15h30 je découvre avec ravissement l'hôtel Valentia que j'avais réservé sur internet.  Au compteur: 131 km, moyenne 25km/h. Une déception : La batterie de mon appareil de photos est à plat, et j'ai oublié mon chargeur ! Cette photo, comme d'autres qui suivront est hélas prise sur Google . A demain pour la deuxième étape si vous le voulez bien, et si je ne vous "bassine" pas trop.692983.png

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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 14:27

14lsv0z.jpgDepuis mon retour de Corse, je suis toujours par monts et par vaux ! Je me suis entrainé pour mon 8ième Allevard -  Toulouse, avec ma valise sur un porte- bagage arrière que j'ai monté pour éviter de rouler avec le sac sur le dos ! Une première ! Départ lundi pour Valence, puis mardi pour Avignon d'oû je vais rester quelques jours chez mon fils Daniel avant de regagner Toulouse, via Bézier et Carcassonne .  Retour vers le début Juin. Pour "meubler", comme on dit, je mets en image cette photo prise par le télescope spatial Hubble. C'est la splendide nébuleuse baptisée Trifide, enceinte de plusieurs millions d'étoiles qui naissent et naitront lorsque nous serons retournés en poussière. Elle se situe à 5000 années lumière de notre salle de bains et a un diamètre de 40 années lumière. Nous sommes vraiment minuscules, et pourtant, nous sommes formés des mêmes éléments que l'ensemble du cosmos. Bon week-end. J'espère vous retrouver en pleine forme à mon retour. Gros bisous pour vous, mesdames, si vous le voulez bien, et amicale pensée pour mes amis du blog.

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 10:15

Profitant de mon escapade parisienne cette fois, les hirondelles ont reconquis mon beau pays d'Allevard ! Quelles soient les bienvenues !... A cours d'idées et n'ayant toujours pas d'images de moa sur le tour de Corse, je me suis réfugié sur "les étoiles d'enfants", et me suis bidonné sur la question de l'un d'eux: " Pourquoi la grande Ourse et la petite Ourse ont-elles de si grandes queues ?" Les queues de ces deux constellations, nous expliquent nos astronomes, sont constituées de suites d'étoiles, qui nous semble former une ligne en forme de queue. Les grecs on cru y voir des ourses tournant indifiniment autour du pôle nord céleste, pour illustrer leurs  histoires mythologiques. Mais ces étoiles ne sont en fait pas liées, et les queues des Ourses ne vivent que dans les dessins des astronomes et dans nos imaginations. Et puis, comme le montre ce magifique dessin de la grande Ourse tiré d'un catalogue du 1825, la queue n'est pas si longue ! NicolasUrsa_Major.jpg

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 19:47

DSCN1337.JPGC'était mon troisième tour, et à chaque fois c'est une découverte. L'île de beauté mérite bien son nom. Nous étions 30 pédaleurs de forces inégales, d'âges et de sexes différents, mais grâce sans doute à une superbe organisation, l'ambiance était formidable,  des amitiés nouvelles ce sont formées,, les anciennes ce sont consolidées. Ayant éclaté mon pneu arrière deux fois coup sur coup, j'ai terminé les derniers 35 km en car lors de la troisième étape. A la dernière, notre amie Véronique a fait une chute due à un éclatement de sa chambre à air, sans gravité heureusement, sauf une égratignure au coude.. Elle une graine de champione ! A mon compteur, 490 km seulement, mais la tête pleines d'agréables souvenirs. Lorsque je recevrai des photos de moa en train de pédaler, je  les mettrai dans un autre article..DSCN1326.JPG

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24 avril 2011 7 24 /04 /avril /2011 15:07

A l'aube, après un petit déjeuner fort copieux, nouveau transfert à l'aéroport national de Buenos Aires et envol à destination d'Iguazu. Ce qu'il y a de bien, avec notre ami Yul, c'est qu'il s'occupe de tout, et avant chaque envol il nous distribut nos billets d'embarquement. A l'atterrisage, nous sommes accueilli par un guide Brésilien ami de Yul. Dans le bus, nous remplissons un formulaire car nous allons à la découverte des chutes du coté brésilien., chute qui sont incontestablement parmi les plus belles du monde avec celles du Zambèse et du Niagara. En effet, plus de 200 chutes se pressent sur un front de 2,5km dans une exubérante végétation tropicale. Les chutes étagées se jettent les unes dans les autres, tantôt en minces filets perçant au travers d'une végétation touffue, tantôt en larges et hautes cascades. Avec leur 72m de hauteur, elles battent celles du Niagara qui n'atteignent que 47M.DSCN1250-copie-1.JPG

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De retour en Argentine, après 45 minutes d'attente à la frontière pour tracasseries paperassières, nous déjeunons dans un restaurant locale sans boeuf ( ne ris pas Eve!), puis nous partons visiter le parc des oiseaux créé en 1994. Le but du parc, c'est la création d'un environnement avec des conditions optimales pour la reproduction des espèces, et la préservation de 16 hectares de buisson autochtonne.DSCN1271-copie-2.JPG

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Retour à Iguazu, installation à l'hôtel saint George .  Le restaurant étant dans l'hôtel, nous passons à table, et oh! délice! il y a de la soupe à l'oignon !  Dans la chambre, je soupir car mon lit est de deux places. Je me gllsse sous les draps, étteind la lumière, et dans la nuit, je songe à ma Princesse et lui parle tout bas... Des choses très douces. Apaisé, je m'endort.  Après le petit déjeuner, départ pour la visite du côté argentin des chutes d'Iguaçu, considérées comme l'une des sept merveilles du monde. Iguaçu signifie "eau grande". Les cascades forment un extraordinaire spectacle. elles sont formées de 275 chutes allant parfois jusqu'à 70 m de haut, et alimentées par le fleuve Iguaçu. C'est avec un petit train et une marche d'un km qu'on a accès au plus près de ces chutes.La plus part s'abritent des embruns avec des ponchos. Comme il fait très chaud, moi j'y vais en chemise........  que j'entrebaille pour la photo.DSCN1292-copie-1.JPG

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Dès lors, le temps s'accélère à une vitesse vertigineuse ! Transfert à l'aéroport pour l'envol sur Buenos Aires. Nuit à l'hôtel Waldore pour la quatrième et dernière fois. Matinée libre, puis transfert à l'aéroport international. Yul nous donne nos billets d'embarquement, puis embrasse les dames. Il serre la main des hommes et vient à moi en dernier. On se regarde longuement. Je murmure: "Je peux t'embrasser ?" On se jette dans nos bras en se serrant très fort ! Que voulez-vous, j'ai craqué ! Il a l'âge de mes fils, et en 14 jours des liens d'amitiés s'étaient liés entre nous. La séparation est dur, car elle est définitive. Nous ne nous reverrons plus jamais. Nous nous sommes fendu de tous nos derniers pésos pour les lui donner discrètement. Six heures d'attente, puis départ  pour Madrid. 11 heures de vol.  Encore quatre heures d'attente, puis envol sur Paris Orly . Il était 20 heures, heure locale quand l'avion se posa sur la piste. Il faisait 24 degré ! Nouvelles accollades et embrassades dans la salle où nous récupérons nos bagages de soute ,  nous nous promirent d'échanger les photos prises en Argentine. A l'extérieur, l'ami de Iole et Erika nous attendait. Iole ayant pris des malaises dans l'avion, je lui demander de ne pas aller dormir chez elle, ayant une cousine àn Paris. Rien à faire ! Elles sont tellement gentilles, mère et fille ! Et puis, il y a entre nousquelque chose comme des atômes crochues. C'est donc chez Iole que je passais la nuit. A 19 heures le lendemain, je retrouvais Allevard, ma soeur et ma petite nièce. En retrouvant mon lit, je regardais longuement la photo de Princesse posée sur la table de nuit. Je lui souris et éteingnis la lumière.DSCN0735.JPG

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23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 14:36

De retour à Calafate, nous sommes transférés à son aéroport pour un nouverau vol sur Buenos Aires. Dans l'avion, je dis mentalement adieu à cette mystérieuse Patagonie que j'avais découvert enfant grace à Jules verne . (Les enfants du capitaine Grant)DSCN1174.JPG

Grace matinée dans l'hôtel Waldorf que nous retrouvons pour la troisième fois, puis noux voilà parti pour une journée relaxe dans une grande ferme, avec spectacle pendant le repas, promenade à cheval ou en calèche. Mon amie Iole s'en est donnée à coeur joie.DSCN1223.JPG

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En soirée, dans un grand théatre de Buenos Aires, un dîner avec un spectacle de musique et danse Argentine nous etait offert: danses gauchesques avec lasso, tango et chants de la région. Hélas, il était interdit de filmer ou prendre des photos. Le théatre était comble, mais nous, le groupe de 21 Français et notre accompagnateur, nous étions au premier rang. DSCN1244.JPG

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22 avril 2011 5 22 /04 /avril /2011 10:23

DSCN1141.JPGPour nous permettre d'être les premiers à embarquer sur un catamaran, Yul nous fait réveiller à 6 heures, et nous ne l'avons pas regretté . Quittant "L'Hosteria", notre hôtel de Calafate (porte d'entrée vers les fameux glaciers Porto Moréno, et du parc national DSCN1160.JPGdes glaciers de Patagonie),nous avions toutes et tous un hublo pour filmer et photographier les paysages. Après quelques heures de navigation, nous sommes fascinés par le spectacle grandiose qui s'offre à nos yeux: De giganstesques icerbers détachés du glacier.DSCN1146.JPG

Le lendemain, nouvelle croisière pour un spectacle plus grandiose encore sur le "lago Argentino". Mais avant de monter à bord, nous avons assister à un fabuleux lever du soleil, une première, pour moi.DSCN1102.JPG

Le glacier Perito Moreno est exceptonnelement vivant. Plusieurs fois par heure, des blocs énormes de couleur bleue se détachent dans un craquement sourd et deviennent des icebergs dans les eaux turquoises. Pendant des années, il avançait de quelques centimètres par jour, mais depuis la cassure du 17 février 1988, son avancée s'est arrêtée. Classé monument naturel du patrimoine mondial par l'UNESCO, il est difficile, nous explique Yul, de ce faire une idée de son immensité. Il a une longueur de trente km, avec une superficie de 195 km2, une largeur de 4 km, et une hauteur de 30 à 60 m !DSCN1165.JPGcalafate1.jpgDSCN1160-copie-1.JPG

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 23:12

56710916.jpgAprès trois heures de vol, nous voici à Ushuaia, la ville la plus australe du monde. Elle se trouve à 1000 km de la péninsule antartique et à 5000 km du pôle Sud. Toujours accompagnés par notre fidèle Yul, c'est Estéban, notre nouveau guide qui nous accueille en Patagonie. " C'est la canicule", nous dit-il sans rire.  Il fait en effet 7 degrés, et pas un souffle de vent, ce vent si célèbre à cette latitude du globe. Quel contraste cependant ! Hier, nous flirtions avec l'équateur, et aujourd'hui....... Remarquez que cette fois, j'avais pris mes précautions ! Moumoute, passe-montagne, mouffles et trois couches de vêtements chauds. Le restaurant et l'hôtel sont pratiquement au centre ville. Estéban nous la fait visiter, arrêtant le bus devant les plus beaux édifices. Cette petite ville de 45000 habitants n'a qu'une avenue principale: San Martin. Il nous explique que la fondation officielle de la ville ne remonte qu'en 1884, lorsque la préfecture y fut installée. La naissance de la ville, nous dit-il, est liée à ushuaia0.jpgla décision de définir la zône comme une colonie pénitantiaire.  DSCN1082.JPG

Après le déjeuner, nous aavons visité le musée de la prison. Je n'ai pas aimé cete visite. Transsformé en musée, ce lieu est sinistre. Dans les cellules, des personnages ayant existés, sont exibés comme au musée grévin. Il y fait très froid. Estéban nous expliqua qu'au retour du travail, les bagnards étaient arrosés  d'eau froide avant de pénétrer dans leurs cellules. J'étais mal à l'aise. D'ailleurs, je n'ai pris aucune photo. après un dîner copieux et une nuit effaçant toute fatigue, nous sommes partis  en DSCN1099.JPGcroisière sur le canal  de Béagle, le plus grand cimetière marin du monde, parait-il. Notre bateau s'approchait si près des multiples ilots, que nous nous en donnions à coeur joie pour photographier dans leur milieu naturel, les cormorans, albatros et lion de mer. Au retour, nous avons contourné le phare des Eclaireurs, construit par des français, et ou le bateau Monte Cerventes fit naufrage en 1930.DSCN1087.JPG

De retour sur terre et après un déjeuner composé de poissons et non de boeuf (ouf!) Nous voici parti pour une visite du parc national de la Terre de feu crée en 1960 et situé à 12 km de Ushaia. C'est l'espace protégé le plus austral du monde. D'une étendue de 65.000 ha, il est limité à l'ouest par le mont Olvia, et au Nord par la chaine de Beauvoir d'où l' on aperçoit le canal de Béagle et les différentes îles du sud.  Nous découvrons ensuite la baie Ensenada au milieu de laquelle se trouve l'île Redonda. c'est là que ce trouve la poste la plus astrale du monde d'où l'on peut envoyer des cartes postales avec le cachet du bout du monde, ce que nous avons fait. De retour à Ushuaia, nous sommes immédiatement transférés à l'aéroport pour un vol à destination de Calafate.DSCN1106.JPG

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 13:23

DSCN1045.JPGDSCN1042.JPGComme prévu, le téléphone nous réveille à 5 heures. Congratulation du matin. Un grand choix nous attend pour le petit déjeuner, et nous voici parti pour la dernière journée dans le nord ouest de cette Argentine, grande comme 4 fois la France, ces 40 millions d'habitants, dont 13 millions sont concentrés à Bunos aires et sa banlieu. Une halte s'impose dans le petit village de Humahuaca situé à 3000m d'altitude, village andin qui fut le théatre du tournage du film "les longs manteaux". Yul nous apprend que les habitant marchent lentement, et il nous conseille d'en faire autant a cause de la mince densité de l'oxigène. Peu me chaud ! Je marche normalement, et même je déboule les escaliers en courant sans le moindre éssouflement ! A cause d'un mariage, nous n'avons pas pu visiter l'église dont le superbe autel baroque vaut parait-il le détour.Par contre, nous avont photographier sous tous ses angle, le monument à l'indépendance, créé par l'artiste argentin Ernesto Soto Avendano.dossier-3-6893.JPG

Une nouvelle halte s'impose après un déjeuner avec une nouvelle fois du boeuf ! (Il parait que dans les grands abatoires de Buenos aires, on en tue 9000 par jour!) Purmamarca. C'est un charmant petit village indien qui semble hors du temps, tant l'endroit respire le calme. Les maisons sont adossées à une curiosité de la nature: La montagne aux sept couleurs. Il nous reste encore 3h et demi de bus pour rejoindre Salta et le transfert à l'aéroport pour attérrir  à Bunos aires. Il est minuit lorsque nous reganons nos chambres de l'hôtel Waldore désertées depuis une semaine.260u3c5-copie-1.jpg

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 20:56

Enchantés par notre voyage et la compétance de nos guides, c'est le coeurs joyeux que nous prenons le bus ( deux minibus à cause de la route nationale 40, longues de 8000 km, escarpée et le plus souvent une piste non goudronnée) pour rejoindre Cachi. pour y parvenir, nous avons traversé la fantastique vallée du rio Calchaqui.DSCN0995.JPG

          Cette vallée a connu une importante civilisation indienne entre 1000 et 1600 avant d'être éliminée par les colons espagnols. A cause de son isolement, cette petite ville a conservé son authencité colonniale, avec ses maisons, non pavée. Avant de rejoindre l'hotel, nous avons visité son musée archéologique exposant de belles collections de pièces des époques pré-inca, inca et espagnole_wsb_465x281_cachi.jpg

    l'hôtel Aca Cachadi et le plus beau de tous les hôtels qui nous ont accueilis. Il se situe à 2330 m d'altitude, et pourtant, alors que nous étions en automne, il faisait une chaleur presque caniculaire ! Le voici:DSCN1007.JPG

   Après avoir révé une partie de la nuit à deux anges ayant un sexe opposé au miens,(Que voulez-vous, j'avais pour moi tout seul un lit de 140 cm de large!) Nous prenons en sens inverse la route de Salta . En cours de route, nous nous arrêtons au parc national  Los Cordones créé en 1996. Il contient des milliers de cactus vieux ou en train de naître, sur plus de 65.000 ha ! Là encore, les appareils photos crépitaient, et ce jeu , je crois que Françoise a surpassé mes grandes amies, Iole et Erika ! C'est au milieu de l'après midi qu'un peu avant Huacaléra que nous avons photographié le monument indiquant l'emplacement exact du tropique du capricorne.  C'est le lendemain matin, après une nuit sans rêve (que voulez-vous, j'avais un lit de 70 cm !) et avant une longue journée de voyage pour prendre l'avion de Buenos aires, que j'ai fait quelques amplètes auprès d'un indien fort sympatique et jouant merveilleusement de la flute ! DSCN1031.JPG

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